En ce mois d’Avril, il y a de la java dans l’air YES ! mais … y a du gaz entre le jazz et la java.

Tiraillés entre le renouveau qui jaillit de l’intérieur, de partout et, le paradigme ancien qui résiste de toutes ses forces et cherche à asservir la liberté, nous avons à « continuer à danser encore » (voir video ci-après), à faire danser ensemble le jazz et la java.

Avril : Des émotions inconfortables et profondes peuvent déborder notre besoin de contrôle et de rationalité, à l’image de l’extraordinaire accélération planétaire qui se gausse de la tête de la pyramide contrôlant le monde tout comme nous autorisons notre cerveau reptilien à nous contrôler par la peur et la survie.

Avril : Y a du jazz, de l’enthousiasme, de la puissance, de la clarté, de l’optimisme, de la confiance, de l’élan et plus encore…
Attention à la java, à l’ancrage, aux décisions hâtives, aux vagues émotionnelles, à une forme d’insurrection intérieure dû à la tension entre liberté et contrôle.

Tension entre liberté jaillissante du féminin et prise de contrôle du masculin patriarcal.
La tension est toujours entre ces deux-là. D’où l’importance de reconnaitre, réconcilier masculin et féminin qui est comme vous le savez sans doute ma consécration.

A moins de laisser se déployer une dictature patriarcale utilisant l’intelligence artificielle – masculin sans conscience ni cœur – pour asservir, épuiser la force de vie, la ressource du féminin en chacun.

Alors faisons danser jazz et java.
Canalisons la force de vie disponible en Avril et dansons la création, la manifestation du projet de vérité que nous portons, du projet du monde nouveau que nous choisissons de vivre.
Dansons Avril plutôt que de réagir et résister.

Résister à ce qui est, est illusoire.
Résister à ce qui est, est énergétiquement inepte.
Résister à ce qui est, nourrit non seulement ce à quoi nous résistons mais aussi, le concept duel bien/ mal qui nous conduit inéluctablement à l’identification d’être victime.

Ce qui ne veut pas dire ne rien faire mais agir depuis un état d’être complètement différent, celui d’un état de souveraineté qui prend responsabilité pour ce qui est reflété, réfléchi.
La loi de la Réflexion nous informe à l’extérieur de ce qui est intérieur.
Elle reflète planétairement en ce moment de façon visible, la qualité d’éthique de ceux que nous avons élus ainsi que ce et ceux qui les dirigent dans l’ombre.
Elle reflète « notre tête » coupée de notre cœur et de notre corps. Intéressant non ? Et nous l’avons élue.

Avril nous invite à revenir dans notre corps et notre cœur, à danser de tout notre être, à faire danser à l’unisson notre corps, notre cœur, notre âme.

Mars nous a balloté : confusion/ clarté, frustration/expansion, excitation/ sérénité… N’est-ce pas ?
Avril : « Aperire » = ouvrir. C’est ce dont il s’agit.
Avril 2021 nous ouvre à l’opportunité de:
• nous ressourcer dans la nature,
• nous régénérer, refaire le plein d’énergie, d’enthousiasme,
• aller de l’avant,
• consolider dans notre corps nos projets.

Danser notre projet de vie, le danser ensemble est le projet de ce mois d’Avril.

Nous ne pouvons faire l’impasse d’un gros afflux d’énergie, de vagues d’émotions profondes, ancestrales.
Des parties fragmentées, ignorées, de vieilles blessures se présentent à être intégrées grâce à la douceur de notre cœur, le pardon du passé, quel qu’ait été le rôle joué du moins apparemment, afin d’ouvrir aux sagesses acquises, à la compréhension, à l’intégration de la totalité de notre chemin de maitrise menant à la souveraineté véritable.

Souvenons-nous : nous in-formons l’Univers à travers l’émission de la fréquence de chacun de nos choix à chaque instant. Notre fréquence magnétise en retour la réflexion et le reflet.
Nous sommes de réels co-créateurs, encore inconscients certes, mais en phase de réveil.

Même lorsque nous sentons anxieux, perdus, découragés, Avril nous appelle à écouter notre âme, à nous concentrer sur ce qu’elle nous souffle, de nous organiser pour le manifester, de nous aligner sur le jazz ET la java. Nous pouvons prendre en ce mois des décisions vraiment éclairées, nous positionner en tant que souverains de notre vie.

Ne juge pas. Ne te juge pas. Ne juge pas ton féminin et ses vagues.
Peut-être des phases qui pourront sembler d’épuisement ou d’émotions inconfortables, douloureuses.
Cela te signale tout bonnement combien tu reçois de « téléchargements » cosmiques.
Loin d’être une honte ou un échec, c’est une bénédiction. Cela te prépare à vivre et à transmettre un niveau supérieur de toi-même, de ta Présence dans les mois, années à venir.

A travers ces émotions, ton féminin se nettoie, se purifie, en ton nom et collectivement. Ton féminin exprime son intimité avec l’Univers.
Invite ton masculin, son besoin de contrôler, de savoir, de juger, à se détendre, à faire confiance, à autoriser le nouveau même si cela terrifie l’ego de lâcher le connu, le familier.
De toute façon rien ne nous semble plus familier n’est-ce pas ? Même le proche sous un masque.
Le monde est sens dessus-dessous, nous de même. Et c’est une bonne nouvelle. Tournait-il rond avant ? Non. Ces fondements étaient fort ombrageux.
L’embranchement de temps où nous sommes permet de nous éveiller à une réalité toute autre, dans la conscience de l’unité.

 

 

Avril, nos perceptions s’affinent, des voiles se déchirent, dedans et dehors.
Notre âme nous parle puissamment du rêve qu’elle porte, de nos aspirations profondes. Notre âme nous demande d’écouter, de tenir à notre vérité face aux révélations encore à venir.
La guérison ancestrale est en cours. Rude et requise.
De nouvelles informations dérangeantes peuvent faire surface sur le plan mondial.

Collaborer à la guérison ancestrale implique de contempler, discerner entre légalité et légitimité et nous positionner.  Faisais-tu une distinction entre les deux?
Avec l’intensité des énergies en jeu, complaisance et docilité sont à un souffle d’approbation et soumission. Légalité et légitimité… … …

Collaborer à la guérison ancestrale implique aussi de contempler sans s’effondrer, sans prendre parti.
Collaborer à la guérison ancestrale de reconnaitre la beauté sublime et tragique du chemin à travers la dualité, partagé avec tous nos compagnons humains et le plan terrestre.
Nous nous sommes identifiés. Certains plus à la victime, d’autres au tyran, d’autres encore au témoin impuissant. C’est une identification. Nous avons joué tous les rôles. Tant mieux, nous n’avons plus à les vivre.
Ayant fait l’expérience, pardonné, intégré, nous pouvons accéder à la maîtrise de la tonalité de notre chemin d’éternité. Oui.

Ceux qui veulent savoir sauront. D’ici l’été. Des blessures d’âme peuvent remonter et avec elles, le chagrin, le poids, le désespoir de ce qui a pu se jouer sur terre depuis des milliers d’années.
Une fois accomplis la guérison, le pardon, l’intégration, la bénédiction va se manifester par le retour d’une force et d’une puissance de Vie originelles que nous redevenons, enrichis des sagesses sacrément acquises.

D’où la nécessité de nous connecter intimement à l’Univers, au monde subtil.

D’où la nécessité de nous connecter intimement avec qui partager sagesse et communion autour de la guérison ancestrale.
Avec qui partager les projets qu’impulsent la force et la puissance de Vie que nous redevenons.
Ceux avec qui partager peuvent se différencier de ceux qui nous séduisaient auparavant, car nous changeons, la métamorphose est en cours.
Les reconnaitre est simple. La communion avec eux fait grandir la reconnaissance de l’amour, de la magie, de la présence dans ta vie.

Alors crée le nouveau, le projet de ton âme, celui que tu partages avec tant d’entre nous.
Crée guérit.
Si ce n’est pas le cas tu ne crées pas, tu refais le passé.
En créant le nouveau, tu libères le passé. Tu crées la place pour le nouveau.

En Avril, danse et crée avec audace.
Alors tu célèbres et honores l’intensité, la puissance, la profondeur d’Avril et du nouveau.

continuer de danser encore

Avec amour
Diane