De la mascarade au col roulé, il y a de l’eau dans le gaz.

Après la rentrée théâtrale de septembre (édito septembre), la pièce de théâtre atteint des sommets tragi-comiques.
Le propre d’une tragicomédie est la fin heureuse malgré les épisodes sombres et tragiques.

Nous en sommes aux épisodes sombres, extérieurement.
Gardons à la conscience l’heureux dénouement, celui où nous sortons du théâtre pour rentrer à la Maison.


Tragique,
le retour de la mascarade, plandémie déjouée partout sauf la France qui s’isole – censure et cécité devant les chiffres officiels, les études, les témoignages – cycle féminin saccagé – pénurie, inflation, contraintes énergétiques orchestrées – menaces de guerre attisées dans un délire de terre brûlée.
Tout est fait pour exacerber les forces en présence. Une forme de folie, d’inhumanité qui joue avec la vie / la guerre.
De l’eau dans le gaz est un euphémisme. Cela sent l’exacerbation de fin de partie, pressentie perdue. À juste titre.

Rappelons : la Terre entre dans une partie lumineuse de la galaxie, ère du Verseau. Inexorablement.
À l’échelle humaine, la modalité du passage est notre part de libre-arbitre.
Une partie conséquente de l’humanité s’éveille.
Une autre a besoin de continuer la narcose hypnotique pendant un autre cycle planétaire. Chemin nécessaire à leurs âmes. Acceptons cela inconditionnellement.
Une autre encore persiste et signe un agenda obscur, inconscient ou niant la dimension au-delà de l’ego, la dimension divine propre à l’âme.


Comique
, pathétique, les cols roulés, les tee-shirts kaki d’Au Théâtre Ce Soir, idem les explications « gazeuses » à propos de vagues successives, de tuyaux qui cassent opportunément mais prédits, des mesures sans fondement, d’experts ineptes et corrompus, de contradictions esquivées… L’accélération du non-sens.
Tu connais tout cela, n’est -ce pas.

J’oubliais le plus important, la vision matérialiste d’un être humain à augmenter grâce à des implants un transhumanisme miséricordieux occultant un contrôle parfait de l’humanité.

L’automne et l’hiver seront physiquement difficiles. Nous le savons. L’hiver s’annonce froid sur bien des plans.
Les révélations peuvent mettre le feu aux poudres, sans pouvoir réchauffer les cœurs face à la trahison indicible de la globalité du système.


Système basé sur l’inversion des valeurs, l’abrutissement des masses, la subversion du langage, la culpabilisation, la complicité inconsciente à son propre asservissement et, la corruption reine.

Attention à la violence qui pourrait dédouaner une riposte avec un arsenal disproportionné. Agissons avec sagesse.


Octobre est un aiguillage ;
les choix sont faits, les voies se séparent, les conséquences se densifient, les fréquences se démêlent.
Ceux à l’origine des problèmes culpabilisent les autres, puis leur apportent une solution soi-disant généreuse qui les asservit insidieusement.
Ces autres se vivent opprimés, contrôlés, pas toujours conscients de leur complicité à leur propre asservissement.
D’autres construisent le nouveau dans la solidarité, l’entraide, la gratitude pour la Vie, se rapprochent de la nature, de leur vraie nature Une avec le tout.

Ce qui s’en vient. Le propre de la réalité quantique est qu’il y a autant de vérités que de points de vue.
Attention à la confusion mentale croyant détenir LA vérité.
En élargissant notre réalité et notre point de vue, l’opposition bien-mal disparait, les réalités se multiplient avec autant de vérités, de lignes de temps, de versions différentes de ce qui peut s’en venir.
Les prédictions, les prophéties, les tirages de cartes ne sont que des potentialités.
Certaines sont juste là pour nous faire peur et nous réveiller, d’autres nous maintenir dans la peur, d’autres nous endormir dans une illusion de sécurité…
Inutile d’essayer de nous rassurer par une version plutôt qu’une autre.
Personne ne peut nous rassurer, personne ne sait ou ne peut révéler ce qui s’en vient. Les maitres de sagesse respectent les Lois universelles dont celle de non-interférence.


Donner le pouvoir à l’extérieur nous rend disponible au contrôle insidieux. Le reprendre en est une étape fondamentale de notre souveraineté.

Nous avons à nous responsabiliser pour notre propre « eau dans le gaz », éclairer et ajuster ce qui nous fait réagir violemment, fuir, abandonner.

Cet automne – hiver nous accule et nous soutient à nous retourner vers l’intérieur, à nous déposer dans la seule ressource véritable, la flamme de notre cœur.
Là, se trouvent la source de l’amour et l’amour de la source. Là, nous existons en amont de la pièce de théâtre.


Plus cela s’obscurcit à l’extérieur, plus cela s’éclaire à l’intérieur.
C’est une Loi universelle.
Octobre, les bénédictions, le soutien, les intuitions, les guidances affluent intérieurement.


L’ombre la plus obscure sert vraiment la lumière.
Lorsque nous le réalisons, la pièce de théâtre apparait dans toute sa magnificence.
La séparation fond. Seule reste ce dont parlent les maitres de sagesse.
Nous pouvons alors nous offrir sans réserve à ce qui est.

Moins nous offrons de résistance à ce qui se présente, comme dans les arts martiaux, plus nous tirons la quintessence du moment présent.
Plus la réalité se révèle dans sa divinité, plus la grâce afflue.

Des choses belles, puissantes et justes se mettent déjà en place, en particulier dans le domaine financier, de la solidarité, de la santé.
Rassure-toi, les énergies s’allègent et s’éclairent au cours de 2023.

A toi qui construis déjà le nouveau, comprends, le monde a besoin non de ta peine, de ta colère, de ta pitié, mais de ta joie, de ton rire. Sois dans le rire. Sois dans l’humour. Vois la tragicomédie.

 

 

Laisse partir l’ancien, le « revenir comme avant ».
Écoute la sagesse des anciens.
Que ton regard soit amoureux, léger, profond.

la Paix. Trouve la Paix. Elle est là en toi. Tout près.
Non le drapeau blanc de la trêve mais le drapeau de Lumière arc-en-ciel de la Paix qui inclut tout.
Cette paix-lumière peut tout déranger car, rien ne la dérange.
Elle est détachement et irrévérence à la pièce de théâtre.
Elle est l’alignement, la Verticalité, étendard de l’Amour inconditionnel qui étreint amoureusement ce qui se présente.

De la Paix de mon cœur au tien.
Diane