Carnaval et grande « démasque ».

Février, mois du carnaval, moment de liesse avant le carême (enlever la carne) où on déclare le jeu de masques et où les outrages sont permis. Y aurait-il un lien avec ce que nous vivons ?
Février 2023, carnaval de dévoilements, révélations, procès, trahisons, retournement de vestes, fuites en tout genre, ainsi que de fuites en avant, de décisions arbitraires délétères. Les évènements se précipitent.

Guignol, attention aux méchants garçons-filles ! Quand la bête se sent piégée, elle est dangereuse.
Évitons les situations et lieux de possible violence. Solidarité et entraide plus que jamais.

Je vous propose ci-dessous 2 clefs de fond, 2 explorations pour février et plus si affinités…

Bonne nouvelle. Le carnaval génère enfin un changement de conscience populaire et la grande dé-masque. Le barrage du déni cède. On ne croit plus aux discours d’une doxa qui nous voudrait du bien. Le peuple prend la mesure de son asservissement à un plan mondial qui continue à enrichir monstrueusement le fameux 1%, et contrôler, asservir, mettre à mal les autres. Le mensonge cède peu à peu devant la vérité. Derrière chaque visage, on s’interroge sur le degré de corruption, de scandale sexuel, de perversité narcissique, de sociopathie et autre joyeuseté.

Cela sent le réveil de printemps qui promet d’être intense.
Pourtant l’hiver est loin d’être fini. Il peut être encore bien rude dans tous les sens du terme (photo de notre lieu) avec son lot de faillites, de désespoir, de désillusion, de colère sourde, peut-être même d’évènements imprévisibles.

Les mesures passent en force. Les poissons sont vaccinés en amont, le pain essentiel à notre tradition et au quotidien sera à la farine de grillons sans ni signalisation ni étude de toxicité. La pédophilie ne constitue plus un crime mais une préférence sexuelle. Mais, la surmortalité ne peut plus se nier…

On entre dans le dur.
Les forces d’involution se manifestent dorénavant ouvertement dans leur besoin de destruction du vivant et vont continuer dans l’année comme jamais.

Restons centrés sur nos valeurs, sur le monde que nous choisissons, restons unis, solidaires. Gardons notre cap. Nous allons y arriver.

Février, nous sommes à la croisée des chemins. Nous avons encore le choix.
Accepter de subir un monde de transhumanisme, 5G, argent numérique, soleil vert dans nos assiettes ?
Concrétiser un monde dans la conscience de l’unité, jardins partagés, respect du vivant, fraternité, souveraineté ?

Confrontant oui, bouleversant oui, mais puissamment salutaire.
Particulièrement pour qui ne se reconnait pas ou plus dans ce monde qui semble vouloir nous faire perdre tous les repères de ce qui fonde et définit notre humanité.

A ce propos, passionnée par les notions de masculin-féminin (cf mon livre) comme vous le savez peut-être, j’ai été hallucinée par un documentaire formidable en réponse à la simple question « Qu’est-ce qu’une femme ? ».  C’est aux usa. Pour l’instant.
J’imagine les réactions de la doxa à ma formation « Sacrément Femme »
https://odysee.com/@Elo:84/whatisawoman:4d?src=embed


Ma 1ère clef
 
: Plutôt que d’être écœurés, savourons le jeu de masques et rions de la farce… Aux grillons.
Février nous demande de nous réunir, nous allier, dans une vision positive, bénéfique, qui contribue au nouveau, qui actualise nos valeurs profondes, qui célèbre le rire, l’allégresse.
« Seuls nous allons plus vite, ensemble nous allons plus loin », proverbe africain d’intelligence collective. Ensemble est une clef essentielle pour nous libérer de la matrice 3D.

Pourquoi ne pas créer entre amis notre propre carnaval 
Jouer ensemble de nos propres masques pour mieux les conscientiser et nous en défaire. Derrière quels comportements automatiques nous cachons nous ? Toujours gentil, en forme, défensif, sachant, serviable, en retrait, effacé, séducteur, leader …tant d’autres. Le défi n’est pas d’être gentil mais d’être toujours gentil.

Ma proposition de carnaval est de grossir nos automatismes afin d’en être vraiment conscients et qu’ils ne se jouent plus de nous. J’aime à dire « ce avec quoi je ne peux jouer se joue de moi ».
Jouer sans nous moquer : les automatismes cachent notre blessure la plus intime. Ils nous ont permis de survivre, même s’ils étouffent maintenant la vérité de Qui Nous Sommes.

L’invitation serait aussi d’oser jouer l’aspect complémentaire du masque automatique, c’est – à -dire l’aspect que nous n’exprimons jamais car trop proche de la blessure souvent ignorée ? Si c’est trop délicat, il peut être rassurant et approprié en cette partie d’être accompagné.
Comment être complet sans se connaitre dans ses deux opposés ? Comment sinon connaitre l’unité ? Comment se connaitre Un avec l’humanité ?

Puis comme de tradition, brulons Monsieur Carnavalen matérialisant de façon créative ces aspects négatifs qui pèsent sur notre vie, la désillusion, l’impuissance, la colère, le dégout… Allumons un feu de joie de cet ancien moi et laissons-nous respirer plus proche de notre vérité.


Ma 2ème clef essentielle.

Nous souvenir de Qui Nous Sommes, ombre et lumière et de pardonner.
L’opportunité, la chance même, nous est donnée de prendre conscience de la puissance de l’ombre à la base de notre réalité quotidienne, de notre société.
Cette ombre nous reflète quelque chose de nous-même. Certes différemment pour qui lit ces lignes. Souvenons-nous : l’ombre sert la lumière, sert à la révéler.

Tant que nous sommes écœurés par ce que nous découvrons du monde, un chemin d’intégration reste à faire en nous-même.
Sinon nous serions en train de construire le nouveau, plutôt que de regarder l’ancien.
Sinon nous serions en amour de la beauté du monde ombre et lumière.
Sinon nous incarnerions notre souveraineté quelles que soient les circonstances.


L’ombre qui nous écœure est nécessaire pour nous souvenir que :
• Nous ne sommes pas cette ombre, mais que nous avons accepté de plonger dans la dualité, de nous croire coupables, pécheurs, impuissants, victimes, vils et d‘autres fois tout-puissants, supérieurs, dominateurs, tyranniques.
• Nous sommes lumière et ombre, que l’ombre sert à révéler la lumière, à ce que la lumière se reconnaisse lumière.

Ainsi sur une photo, sans l’ombre point d’image, l’ombre définit l’image, ses contours comme sa densité.
Nous avons confondu l’ombre photographique et l’ombre.

La véritable ombre n’est pas d’avoir été/subi un jour un tyran, mais de ne pas avoir pu le pardonner – à nous-même ou à l’autre. La véritable ombre est le jugement porté sur l’expérience, le non-pardon qui empêche l’intégration et par conséquence la nouvelle sagesse qui en est issue.
Peut-on être un véritable guide sans avoir été un jour ou l’autre un tyran, sans avoir un jour ou l’autre failli ?
Ceci est la voie de la maitrise.

Certes nous avons à prendre responsabilité pour la conséquence de nos actions.
Responsabilité et non culpabilité qui nous enferme dans la matrice 3D (victime- tyran -sauveur)
Si « un jour ou l’autre » (je parle ici de mémoires que certains appellent vies passées ; toujours actuelles puisqu’elles continuent à nous manipuler) j’ai par exemple, abandonné un enfant… Sans doute ai-je à prendre soin d’enfants plus que de raison, à les aimer, à me consacrer à eux.


Donner plus que je ne crois possible de donner,
l’amour, la lumière, dans le domaine de ma voie d’apprentissage, de maitrise. Ceci est le bon usage du karma.

Février nous offre l’opportunité-chance de nous souvenir que nous sommes humains ET divins, ombre et lumière. Plus nous découvrons en nous-même la lumière et l’amour et les laissons couler naturellement, plus nous les reconnaissons dans le monde, plus le monde se métamorphose dans la grâce.

À la fin du carnaval avec le début du carême, le temps arrive de nous recentrer sur l’essentiel, nous détourner de l’agitation extérieure, d’incarner un phare stable, lumineux, bienveillant pour ce qui s’en viendra au printemps.
Voilà le chemin que nous propose février.

 


Dans cet élan, rappel de notre rdv de 10h.

Depuis 2020 nous avons un rdv, chaque matin à 10h.
Nul autre support que l’union de nos Cœurs à la Source Une.

Pour 5 minutes, où que nous soyons, quoi que nous fassions, nous intégrons la vision du monde que nous choisissons à la vie quotidienne par la visualisation, les émotions positives, la gratitude de savoir notre vision déjà exaucée et en cours de manifestation.
Chacun sa propre créativité.
Commence auparavant par t’ancrer à la Terre et à la Source Une, de te relier à nous tous par le Cœur Un, de demander le soutien de Mère Gaia et des Guides Amour-Lumière.

Visualise aussi ou pose l’intention que tous les Enfants sur Terre soient libres, en sécurité, enveloppés de soin, d’amour, dans la reconnaissance de l’étincelle divine qu’ils sont. De même pour ton propre Enfant intérieur.
Visualise ou pose l’intention du monde que tu choisis avec ta propre spécificité – résonance qui porte le respect du vivant, la Conscience de l’Unité.
Gratitude. Appelle et choisis que ceci soit protégé et scellé, uni au plan divin.
Merci à toi et à la communion des Cœurs.

Diane