Démarrage en trombe pour cette rentrée, n’est-ce pas ?
Préparons-nous, l’automne 2020 pour le moins intense si ce n’est insensé va solliciter puissamment notre alignement dans la nécessité d’incarner notre souveraineté, le calme et la paix versus les réactions intempestives pouvant mener à la violence.

Septembre, notre élan peut se montrer incandescent, tumultueux, porté par le désir de contribuer au changement, d’apporter sa pièce du puzzle, de réveiller les moutruches, de respirer librement, de se toucher, de vivre tout simplement …
Mais il y aura des défis, des obstructions, des aberrations…  Des sacs à patates. Un certain nombre. Autant d’obstructions à la Vie.

Et si entre poussée intérieure et obstruction extérieure, Septembre nous offrait une divine opportunité  ? Celle de l’enracinement de notre souveraineté indispensable à la libération de l’Enfant divin étouffé.

Ainsi le retard de mon édito …  Pardon et j’en suis véritablement touchée, à ceux qui attendent avec impatience ce moment mensuel de mise en perspective, de soutien, de réunion sous le drapeau de la Vie Une.

Respirons afin d’intégrer cette sagesse divine : La Vie ne veut pas notre bonheur mais notre éveil !
Bonheur, à condition d’enraciner et d’habiter notre souveraineté car à la mesure de notre éveil, la joie pure est destinée à déborder. Le grand éclat de rire devant l’insensé qui nous éveille à qui nous sommes au-delà de la grande mascarade.

Les probables obstructions, aberrations, vont nous pousser à choisir à qui nous donnons le pouvoir :
au personnage construit sur les blessures et animé par l’ego qui pourra avoir fort envie de réagir par par la colère, l’impatience, la rébellion, la rage, la frustration, le fatalisme ?
à notre partie la plus élevée et divine, dans l’art de ralentir, de respirer, de nous poser, de contempler la « grande mascarade », tragique/ sublime, grandiose/ monstrueuse, et son déploiement implacable. Grande mascarade que nous avons nous-même créée pour dissoudre la matrice, celle de la dualité et son illusion et, ultimement nous éveiller à la réalité absolue au cœur du silence ?

« Personne ne se réveille d’un rêve doux mais d’un cauchemar». (Edito Eté 2020. Pilule rouge ou pilule bleue. Dans l’œil du cyclone.)

Respirer en conscience. N’est – ce point grandiose que la « grande mascarade » nous interdise justement ce droit divin de naissance ?Respirons en conscience, même quelques instants volés, le souffle qui nous unit au grand tout, à travers le temps, l’espace, les dimensions, dans l’intention que nos pensées et émotions, nos actions, nos mots s’accordent à notre âme ainsi qu’aux valeurs essentielles de notre vie, dans la foi total au plan divin, dans la paix et la joie présentes dans notre cœur, de toute éternité.

Respirer et ralentir, en écho à notre société qui décide arbitrairement, légalise dans l’urgence, ignore les conséquences, refoule la vision globale des véritables enjeux.

Contempler les véritables enjeux de cette crise planétaire et nous aligner en nous-même avant d’agir ou non, Septembre nous  y appelle.
Prendre conscience des forces véritablement en présence en cet espace-temps de la galaxie nous remet dans une verticalité une avec le Champ Unifié, dans la souveraineté indispensable à notre Initiation collective.

Au-delà des aberrations imposées même au prix de traumatiser les enfants, d’une forme de dictature sanitaire malgré la contestation de scientifiques irréfutables.
Au-delà de la censure plus vicieuse qu’un virus.
Au-delà de la manipulation par la peur afin que l’humanité réclame elle-même ce qui va l’asservir, la réduire, la contrôler.
Au-delà des intérêts commerciaux faramineux d’un vaccin possiblement imposé à une humanité infantilisée et terrorisée.
Au-delà d’une crise économique délibérément créée en aval d’une crise mondiale inexorable due à l’asservissement monétaire de la dette.
Au-delà de lois bio éthiques passées en catimini qui autorisent dans certaines situations l’interruption de grossesse jusqu’à 9 mois, les chimères animal /homme, la transgression de la spécificité humaine.
Au-delà de la pédo-criminalité planétaire organisée, protégée au plus haut, pour le bénéfice addictif d’une petite élite qui a vendu son âme aux forces obscures.
Au-delà du système de manipulation, de contrôle, qu’est la matrice de 3ème dimension, dans laquelle nous sommes impuissants, coupables, indignes, serviteurs de ce qui nous dépasse car nous l’avons laissé dans l’ombre.
Au-delà de cette vision dantesque dont nous prenons peu à peu conscience se présente la fusion des intelligences humaines et artificielles, le transhumanisme, l’enfermement de la conscience, non plus dans un corps biologique, mais dans des circuits binaires.

Nous sommes à un embranchement de temps. Nous créons notre futur en ce moment, dans les mois qui viennent, que nous en soyons conscients ou non.
Ceci pour nous-même, pour notre humanité, pour les générations à venir, pour la ligne de temps chronologique à venir. (Edito Eté 2020. Pilule rouge ou pilule bleue. Dans l’œil du cyclone.)

Nous sommes en train de choisir entre « libres ou asservis à des programmes » pour la ligne de temps chronologique à venir.

Imaginons une ligne de temps dans un futur « asservis à des programmes ».
Dans ce futur lointain ou non, certains conscients de l’anomalie anti-vie cherchent comment éveiller ceux qui sont à l’embranchement et peuvent encore faire la différence. Comment sans briser la Loi Universelle de Non-Interférence ? Une possibilité…  Utiliser la malléabilité du temps pour s’incarner eux-mêmes à l’embranchement en pariant sur leur propre éveil à la souveraineté intérieure.
Hum … Et si c’était nous ?
Ceci est bien sûr pure imagination.

Ce n’est que depuis notre souveraineté intérieure, notre liberté d’être, que l’action juste peut nous être soufflée.

Mais tant que notre liberté, prélude à l’action juste, dépend de l’extérieur, nous ne pouvons être libre. La liberté est un état intérieur, une sensation, qui appartient à notre essence, à notre être propre. Naturellement libre. Notre essence existe en amont de la mascarade, en amont même de la création. La liberté de notre essence existe de toute éternité.

Notre liberté commence là où nous nous souvenons que la mascarade en est une, non pas la réalité de ce qui est, ni de qui nous sommes. Déjà nous goûtons qui nous sommes en vérité, dans la liberté que rien ni personne ne peut contraindre.

Nous pouvons être dans le chaos sans en être affectés.
Concernés oui, vivant dans ce monde, avec une famille, des responsabilités terrestres ; mais non affectés par ce monde car, dans la reconnaissance de l’être souverain que nous sommes, libre jusqu’au  cœur de la contrainte, bienveillant, puissant, pur, existant en amont, au-delà de cette réalité temporaire.

Souverain oui, même quand le retour de l’école est déchirant, l’enfant coupé de tout ce qui fait de lui un être divin, libre, spontané, à cause de la distanciation obligée entre copains, l’interdiction de contact, de toucher, l’obligation d’être masqué qui empêche l’expression, l’appréhension de l’autre.
C’est l’Enfant intérieur de chacun aujourd’hui coupé de sa spontanéité, de son souffle, de son expression, de la relation directe avec l’autre…
L’Enfant intérieur de l’humanité est étouffé.

Pourtant notre Enfant intérieur existe au-delà de de cette réalité temporaire.
A nous de le retrouver, de le libérer, de le transmettre aux enfants.
A travers cet Enfant libre et divin, c’est le Féminin sacré dont il est question.
L’IA est l’extrême de la polarité masculine dénaturée sans cœur de compassion…
Nous n’avons jamais été si loin dans la séparation et si proche de l’Union.

Tant que nous cherchons une solution à ce monde, nous sommes pris par la mascarade, nous donnons le pouvoir à l’illusion, nous quittons notre souveraineté et la liberté.
En dénonçant même le plus monstrueux, nous le nourrissons de notre jugement. Rien à nourrir au sein de la mascarade. En arrêtant de nourrir celle-ci, elle disparaît.

Souvenons-nous, notre Terre entre dans une zone lumineuse de la galaxie.
Notre passage initiatique collectif est porté par la lumière universelle.
Nous sommes accompagnés, soutenus, par des myriades d’êtres de lumière.

Nous n’avons pas à changer notre monde.
Nous avons à changer notre regard sur le monde.

Voir la divinité de ce qui est là ne veut pas dire nier ce qui peut obscurcir la lumière. Tout ce qui est, est issu du Un, de la Source.
Notre responsabilité en tant qu’être souverain est de reconnaitre la divinité en ce qui est, ainsi nous la révélons par la Loi de l’Attention. Notre regard nourrit de lumière ce sur quoi il se porte. Notre regard lumineux et bienveillant révèle la lumière là où elle est obscurcie.

Nous sommes le monde dans lequel nous vivons. Nous ne pouvons rien exclure de ce que nous percevons du monde. Notre perception du monde nous révèle là où nous en sommes de la réalisation de notre divinité.
Notre regard amoureux sur le monde permet au monde de se révéler dans sa divinité. Ceci est la compréhension tantrique « d’épouser ce qui est là »

Notre vrai courage est le choix de ce que nous choisissons de regarder, dans la conscience inclusive de l’ombre et de la lumière. L’ombre éclairée se dissout naturellement.
Il n’y a pas de coupables extérieurs, même si certains ont une responsabilité actuelle.
Nous avons été au cours de notre chemin d’éternité tour à tour oppresseur, victime, témoin impuissant. Ouvrir notre cœur à cette réalité ouvre la porte à notre véritable maitrise.

C’est l’Initiation de Maitrise de la dualité. Elle est costaud. Oui.
A la grandeur des maitres potentiels que nous sommes, en notre souveraineté, Enfants divins de l’Univers.

Maître en puissance, tu es.
Accompagné, soutenu par les forces de lumière, tu es.
Enfant divin de l’Univers, tu es.
Nous de la Terre et du Ciel, nous connectons notre Cœur au Tien et formons un immense Pilier.
Imaginons au centre, notre Terre baignée d’une lumière rose dorée enveloppée par la Fleur de Vie arc-en-ciel dorée et, notre humanité de tous âges, couleurs, cultures, dans la joie, le sourire visible et éclatant, s’étreignant, se touchant, dansant au milieu d’une nature vibrante, colorée, au milieu des animaux en particulier bourdonnement affairé des abeilles.

Ce mantra pour soutenir ton mois de Septembre 2020
« Je reconnais la divinité, la liberté, l’amour, la lumière, en ce qui est là.
En les reconnaissant, je les nourris, je les dévoile.
En les reconnaissant, je reconnais la souveraineté co-créatrice qui est mienne de toute éternité.
Je reconnais en moi comme en toi, l’Enfant divin, libre, spontané, pour qui  les obstacles sont autant d’occasions de jouer et de les sauter»