Un petit resto, une séance de cinéma, cela te dit?
Fêter un anniversaire, accéder à des bonheurs devenus inaccessibles…
Pour ces bonheurs immédiats, que sommes-nous prêts à … … … … Brader ?
Pour que nous soit concédé l’immense privilège de ce qui était normal hier dans la vie d’avant, ne serions-nous pas prêts à nous laisser leurrer?
Prêts à occulter le tour de « pass-pass » qui au nom de la santé du collectif nécessite juste de savoir où tu es et avec qui, à tout moment, afin de retrouver une apparence de liberté…
Sommes-nous conscient que ce tour de « pass-pass » est le leurre qui nous souffle de brader notre liberté fondamentale pour nous et les générations à venir?
N’est-il pas temps de laisser respirer les enfants, de leur redonner le souffle de vie qu’ils n’auraient jamais du perdre, plutôt que d’abimer une génération pour laquelle la muselière devient la norme ?
Un ado masqué seul en pleine campagne se sachant en bonne santé répond à propos de son masque « on ne sait jamais ». Cela me glace.
Devenus adultes, ils seront en droit de nous demander des comptes.
Directement ou en abdiquant notre souveraineté, nous sommes responsables.
Quelles croyances altèrent à ce point notre discernement?
Quelles peurs primitives nous rend si dociles? D’être mis au ban, accusé, puni ?
L’autre peut nous accuser sans que nous nous sentions coupable…
A condition de prendre soin de nos blessures et d’avoir le courage d’assumer notre souveraineté. Cela demande du courage dans un monde où réfléchir par soi-même est jugé suspect et censuré.
En ce mois de mars, les énergies vibrantes du jeune printemps et celles de ciel requièrent lucidité, honnêteté, alignement et compassion afin de nous positionner intérieurement envers la liberté, la valeur tangible que nous lui donnons, du prix que nous sommes prêt à payer pour la retrouver et la protéger ainsi que de prendre conscience de nos compromissions au quotidien. Ceci sans nous juger : nous sommes incroyablement brassés, fatigués, et continuellement sollicités.
Sur un plan informationnel, ce positionnement intérieur est en ce moment crucial : Nous informons le champ quantique par la vibration de notre positionnement.
Pour l’instant globalement, nous informons de notre docilité aux tours de « pass-pass ».
En mars, nous sommes dans un moment pivot, un carrefour.
Il suffit d’un déclic pour prendre un embranchement ou un autre. L’un asservit à l’intelligence artificielle, l’autre libère la souveraineté dans à la conscience de l’unité.
Souveraineté danse avec liberté.
Le jeune printemps stimule collectivement notre désir et notre besoin de libération, d’autant que pour des pays autour de nous, la vie reprend, les lieux de convivialité rouvrent et des masques tombent dans les 2 sens de la phrase.
Puisse la fréquence de notre positionnement intérieur suffire à matérialiser une liberté démuselée et éviter des soulèvements irrépressibles.
Même si l’idée est dérangeante pour la personnalité, merci aux aberrations, à l’inhumanité de certaines règles. Cela sert le réveil. J’aime le répéter « on ne se réveille que d’un cauchemar, non d’un rêve ».
Pardon à ceux qui en paient un prix. Merci à eux d’être la matière en fusion de la métamorphose.
Bonnes nouvelles :
De plus en plus de personnes découvrent ce pour quoi ils se sont incarnés sur Terre à ce moment, tu en fais partie, et se redressent entre ciel et terre.
De plus en plus aussi expérimentent un niveau plus profond de paix, une tranquillité intime, un accès à la spatialité, alors même que l’environnement s’agite tout autour.
S’il te plait, ne sois pas gêné de te sentir bien quand d’autres vont mal. Célèbre. Savoure. Émane.
Notre humanité a besoin d’être enveloppée, cocoonée par la fréquence de la paix issue de ce qui ne se voit pas encore mais que le Cœur Un touche.
Ce cocon vibratoire est nécessaire au temps sacré de la transition de la chenille, de la mue. Nous sommes en métamorphose.
Cette fréquence de paix est ta contribution puissante et douce. C’est ta co-création à la Transition. Ainsi nul besoin de sortir dans la rue même si cela peut être le rôle de certains.
Le jeune printemps stimule notre besoin de libération, en même temps nous sommes fatigués et les énergies demandent encore patience …
Nous sommes brassés de baigner collectivement dans un océan d’angoisse, de stress, d’incapacité de se projeter dans l’avenir.
Brassés par l’accélération du temps universel. Nous disposerions d’après des scientifiques de 16 heures véritables sur les 24 heures de la pendule.
Brassés par notre planète qui monte en fréquence. Cela favorise, ouf, un changement de conscience mais cela active naturellement aussi les peurs qui s’y attachent.
Y en aurait-il parmi nous qui subissent des insomnies, des réveils inhabituels en pleine nuit ? Moi oui.
Brassés nous sommes.
Mars nous demande de prendre soin de nous, de notre âme, de notre fatigue, du stress, de mettre en place ce qui nous régénère, nous ressource. (voir plus bas)
Pour certains, il est temps d’oser demander l’aide, le soutien. Les accompagnants holistiques quelle que soit leur boite à outils , sont à même de comprendre la spécificité multidimensionnelle de ce passage et de l’accompagner.
Si le libre-arbitre individuel semble pour l’instant être otage d’un destin collectif, ce temps suspendu est nécessaire à la mue, à la transformation des peurs primitives de notre inconscient, des croyances en un monde de soumission/ domination, de séparation, des mémoires qui perpétuent une vision contractée et abîmée de nous-même.
C’est un temps parfait pour éclairer notre inconscient, faire la paix avec notre histoire.
Manipulés par notre inconscient, la souveraineté est impossible. L’extérieur nous manipule et … …… nous en sommes inconscients, happés par la matrice 3D.
Ainsi vigilance pendant ce mois aux réactivités contagieuses de ceux qui choisissent l’inconscience, à garder des limites claires et saines.
Ce mois de mars demande d’unir la force du renouveau à la sagesse.
Résumons.
• Nous positionner clairement intérieurement envers la liberté
• Nous régénérer (voir plus bas).
• Eclairer l’inconscient, transformer les peurs, croyances, faire la paix.
• Attention aux réactivités extérieures, garder des limites claires, saines.
• S’autoriser le bonheur d’être et la paix qui en découle alors que tout s’agite.
• Unir la force du renouveau et la sagesse.
Pistes pour se régénérer:
Aller aussi souvent que possible dans la nature, auprès des arbres.
Faire une cure de détoxication.
Rire.
Bouger avec bienveillance.
Se faire masser.
Manger des aliments vibrants de vie.
Boire beaucoup d’eau de belle qualité avec très peu de résidus
Faire le silence mental 3 minutes/jour.
Brassée d’amour.
Diane